WikiLeaks : Transparence + Sincérité = Le nouvel Internet ?

Crash test

Suivi la rumeur d’hier soir, Facebook et Twitter auraient été les cibles de l’équipe de hackers défendant l’ « honneur numérique » du désormais mondialement connue « WikiLeaks ».

Les deux sites fermèrent les comptes des hackers qui furent rapidement identifiés. L’opération, digne des plus grandes « guerres », se nommait : « Remboursement », suite notamment au refus de certains établissements bancaires de continuer de proposer des solutions de paiements en ligne à WikiLeaks et ses ramifications (bloquant la diffusion des données des sites miroirs notamment).

Ce groupement avait déjà sévit bien avant leur nouvelle « Cause » contre l’église de scientologie et l’association des producteurs de films Américains entre autres. Leur but : défendre la liberté d’informer, que représente WikiLeaks.
Cette attaque qui stigmatise le ras le bol face aux institutions qui souhaitent une opacité sur de nombreux sujets pose une problématique réelle : Quid du « secret » d’État et jusqu’où pouvons nous informer la population ?

Pour contrôler/protéger une population, il vaut mieux ne pas tout dire.

Pour contrôler/manipuler une population, il vaut mieux … ne rien dire ou alors en arrondissant largement les angles!

Aussi, les révélations actuelles de wikileaks ne sont pas non plus d’un niveau de secret défense ultime, en tout cas pour l’instant. Elles ne font que confirmer certaines tensions et arrangements entre certains États. On sait depuis toujours que les grandes puissances sont de mèches, qu’israéliens et la Palestiniens ne partiront pas en vacances ensemble ou encore que notre cher Président en pince pour l’oncle Sam.

Après, quelle est la teneur des documents restants qui sont donnés au compte-goutte aux médias ?
On peut aussi s’interroger sur les objectifs de Julian Assange. Robin des bois de l’information ? Marketeur hors pair souhaitant réaliser le Buzz du siècle (enfin Ram-Dam)? Autres… ?

S’opposer de telle sorte à ce que, certains désignent comme une hypocrisie générale, et se retrouver contre la pensée de « masse », et ainsi, ne pas mettre en doute la commission Warren sur l’assassinat de Kennedy, le 11 septembre, les premiers pas sur la lune… Tous ces exemples ont un point commun, l’avez-vous trouvé ? Nous nous écartons…

In extenso, quel degré d’influence donner à Internet ? Une entreprise doit-elle communiquer de façon récurrente et (très/trop) sincère dans ce climat de désinformation « contrôlée » ? L’heure n’est elle pas à la transparence comme facteur de réussite ?

Pour notre part, il vaut mieux y être en diffusant et en échangeant régulièrement pour maitriser sa communication ! Le rôle du Community Manager est finalement beaucoup plus humain et « numériquement » honnête qu’on ne le penserait de prime abord…pour peu que ce soit la stratégie de l’entreprise…. !-)

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